HSBC est, pour le dire gentiment, un gâchis. Le bénéfice est vers le bas. Son plus grand actionnaire le veut Divisé en deux. Et il de plus en plus se trouve dans position étrange de essayer de rouler la division croissante entre l’Occident, où il est basé, et Chineoù il a commencé et qui reste son marché le plus important.
Pas contrairement ambitieux numéro deux devant lui– en effet, un peu comme son prédécesseur immédiat – le directeur financier de HSBC, Ewen Stevenson, a estimé que cela le plaçait dans une position avantageuse. Il est très apprécié et voulait une promotion et ne se souciait pas que son patron, le PDG Noel Quinn, ne soit pas encore prêt à faire de la place. Et pas contrairement ambitieux numéro deux devant luiStevenson a découvert qu’il n’avait pas autant d’influence qu’il le pensait, et donc, contrairement aux autres numéros deux ambitieux auxquels nous avons fait référence au fil du tempsStevenson il ne deviendra pas PDG à la fin.
Ewen Stevenson, 56 ans, a déclaré aux membres du conseil d’administration ces derniers mois qu’il voulait être le directeur général de HSBC et ne voulait pas attendre trop longtemps, ont déclaré des personnes proches du dossier. Le conseil d’administration n’était pas disposé à fournir un calendrier pour un changement ou une assurance que M. Stevenson obtiendrait le poste, ont déclaré les gens…
M. Stevenson, très apprécié des investisseurs et des analystes, part à un moment tumultueux pour la banque… Sa sortie est le dernier signe de turbulences au sein du géant bancaire. HSBC a traversé des cadres supérieurs depuis que le président Mark Tucker a commencé en 2017. M. Tucker a nommé un nouveau PDG, John Flint, en 2018, entraînant le départ du dernier directeur financier, qui souhaitait également le poste de PDG.
Le directeur financier de HSBC, Ewen Stevenson, envisageait un poste de haut niveau avant sa démission surprise [WSJ]
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